Publié le 25/09/2015 - C'est sans doute déjà le «pétage de plombs» le plus stupide de la saison. Au total, Dario Lezcano va passer huit matches loin des pelouses pour sa bêtise, ce vilain coup de sang qui fera désormais son dépit et celui du FC Lucerne aussi.
Huit matches de suspension, c’est donc la sanction très lourde que la Commission de discipline a infligée au Paraguayen, ce qui va bien au-delà des deux matches déjà purgés. Autant dire que l’attaquant aura de quoi méditer sur ses emportements et plus précisément celui du 13 septembre contre Grasshopper.
Dans les faits, il aurait pu se contenter d’accepter son deuxième carton jaune, synonyme d’expulsion, mais d’un seul match de suspension.
Seulement voilà: le buteur, qui en était à neuf goals marqués en huit journées, autrement dit le meilleur début de saison de sa carrière, a jugé utile de… craquer.
En allant se mettre tête contre tête, jusqu’au contact, face à l’arbitre, en le bousculant et, cerise sur le gâteau, en faisant tomber le carton rouge que le directeur de jeu lui brandissait sous le nez.
La Commission de discipline a estimé que de tels agissements sont inadmissibles et on peut la comprendre. Parce qu’au fond, Lezcano n’a pas d’excuse. L’injustice d’un second carton jaune? Quand bien même: en ne réfléchissant pas plus loin que le bout de son nez, le Paraguayen s’est tiré une balle dans le pied et pénalise toute son équipe, de surcroît. Cette lourde mais logique suspension peut être contestée devant le Tribunal de recours de la SFL dans les cinq jours. Mais sans effet suspensif… Que le «brave» Dario en profite pour se calmer un peu…
Huit matches de suspension, c’est donc la sanction très lourde que la Commission de discipline a infligée au Paraguayen, ce qui va bien au-delà des deux matches déjà purgés. Autant dire que l’attaquant aura de quoi méditer sur ses emportements et plus précisément celui du 13 septembre contre Grasshopper.
Dans les faits, il aurait pu se contenter d’accepter son deuxième carton jaune, synonyme d’expulsion, mais d’un seul match de suspension.
Seulement voilà: le buteur, qui en était à neuf goals marqués en huit journées, autrement dit le meilleur début de saison de sa carrière, a jugé utile de… craquer.
En allant se mettre tête contre tête, jusqu’au contact, face à l’arbitre, en le bousculant et, cerise sur le gâteau, en faisant tomber le carton rouge que le directeur de jeu lui brandissait sous le nez.
La Commission de discipline a estimé que de tels agissements sont inadmissibles et on peut la comprendre. Parce qu’au fond, Lezcano n’a pas d’excuse. L’injustice d’un second carton jaune? Quand bien même: en ne réfléchissant pas plus loin que le bout de son nez, le Paraguayen s’est tiré une balle dans le pied et pénalise toute son équipe, de surcroît. Cette lourde mais logique suspension peut être contestée devant le Tribunal de recours de la SFL dans les cinq jours. Mais sans effet suspensif… Que le «brave» Dario en profite pour se calmer un peu…
Source : LA TRIBUNE DE GENÈVE
