Publié le 11/06/2016 - Pas passé loin le carton rouge. Sur ce coup-là, y’avait même de l’exclusion dans l’air. Ce ne sera finalement qu’un avertissement collectif très orangé pour le comité d’organisation de l’Euro, de la FFF et de l’UEFA. Mais l’impensable a failli survenir : voir l’Euro 2016 débuter sans que Michel Vautrot, l’arbitre le plus capé du football français, ne soit invité.
Lui qui peut s’enorgueillir d’avoir, la même année, en 1988, arbitré deux finales continentales dont l’Euro en Allemagne et cette affiche qui avait vu les Pays-Bas l’emporter sur l’URSS ; lui qui a dirigé cinq matches de coupe du monde en 1982 et 1990 dont une demi-finale Italie Argentine ; lui qui, à deux reprises, a été classé meilleur arbitre au monde ; lui qui détient toujours le record du nombre de finales de coupe de France arbitrées, à savoir cinq ; lui notre Michel d’Antorpes, hé ben, l’arbitre préféré du Moyen-Orient et des Comtois, aura dû attendre la veille du coup d’envoi pour enfin recevoir une invitation VIP pour le stade de France.
Et dire que chaque joueur ayant au moins une fois dans sa carrière porté la tunique bleue détenait son précieux sésame depuis belle lurette ! Mais l’homme a sa fierté, on le comprend, et n’a pas donné suite....
Lui qui peut s’enorgueillir d’avoir, la même année, en 1988, arbitré deux finales continentales dont l’Euro en Allemagne et cette affiche qui avait vu les Pays-Bas l’emporter sur l’URSS ; lui qui a dirigé cinq matches de coupe du monde en 1982 et 1990 dont une demi-finale Italie Argentine ; lui qui, à deux reprises, a été classé meilleur arbitre au monde ; lui qui détient toujours le record du nombre de finales de coupe de France arbitrées, à savoir cinq ; lui notre Michel d’Antorpes, hé ben, l’arbitre préféré du Moyen-Orient et des Comtois, aura dû attendre la veille du coup d’envoi pour enfin recevoir une invitation VIP pour le stade de France.
Et dire que chaque joueur ayant au moins une fois dans sa carrière porté la tunique bleue détenait son précieux sésame depuis belle lurette ! Mais l’homme a sa fierté, on le comprend, et n’a pas donné suite....
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